Un tome qui revisite le mythe de Vampires à la sauce Disque monde.
Ici les vampires essayent de se moderniser. Ils se désensibilisent à l’ail, se disent que le soleil qui brule c’est psychosomatique, que les symboles religieux m’a fois on s’en accommode même chez soi.
Par contre leur esprit de domination est intact.
Ils veulent faire main basse sur le royaume de Lance. Les humains restent du bétail.
Les sorcières vont faire obstacle…
Un tome moins surprenant que d’habitude avec un personnage quand même intéressant : un prêtre qui se retrouve bien loin de son église sur le terrain.
Et quel terrain ! Peu de monde est réceptif à l’orthodoxie. Les vampires auraient eux-mêmes écrit les livres sacrés….
Alors face à la réalité, il va douter et mettre de l’eau dans son vin.
Mon regret pour le roman : les sorcières ont des pouvoirs parfois cachés, mais en fin de compte, elles sont bien trop puissantes. J’aurais aimé une fin moins “Happy end”.
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Cet article "Les Annales du Disque-Monde, Tome 24 : Carpe jugulum" est paru en premier sur Post Tenebras Lire