Joyland - Stephen King - ★★★★☆

Le quatrième de courverture indique :

“Les clowns vous ont toujours fait un peu peur? L’atmosphère des fêtes foraines vous angoisse? Alors, un petit conseil: ne vous aventurez pas sur une grande roue un soir d’orage.”

Ceci n’a RIEN à voir avec l’ambiance du roman (ou très peu).

Le fantastique et l’horreur sont très peu présents dans ce roman
C’est une plongée nostalgique d’un homme dans l’année la plus marquante de sa vie. Il s’est fait largué par sa copine (même s’il ne l’admet pas) et trouve un job dans un parc d’attraction. Pas un Disneyland, mais un parc presque familial qui “vend du bonheur”. Il y flotte comme un parfum de fin de règne, de nostalgie pour ses vieilles attractions mécaniques.

Les rencontres qu’il va y faire vont le marquer pour le restant de sa vie. Comme d’habitude Stephen King excelle dans la description des gens ordinaires. Ils leur donne une vie et une profondeur que je retrouve rarement ailleurs.

C’est une œuvre touchante avec une pointe de fantastique et une très bonne dose de nostalgie.

En parlant de nostalgie…

Passez vous ce morceau de Simple Minds. En l’écoutant je lui trouve une délicieuse proximité avec le roman.

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