Des personnes toutes différentes, à des moments clefs de leur vie un peu par hasard passent la porte d’une bibliothèque de quartier.
Ils repartent avec les livres qu’ils cherchaient.
Ils croisent surtout la bibliothécaire qui leur fait prendre aussi un autre livre et un petit plus.
Je vous laisse découvrir ce que sont ses petits plus.
Le livre supplémentaire et l’objet « en plus » vont orienter leur vie d’une manière subtile, inattendue, juste, profondément juste.
À chaque fois la personne cherche sa place dans la société japonaise.
Pas facile quand on est défini par son métier, son mari, son épouse dans une société très normée.
Un grand vide, un manque, un changement subi, marquent chaque personnage.
La bibliothécaire va avec quelques mots, un livre inattendu, un geste, un cadre bienveillant, pousser juste ce qu’il faut pour qu’un chemin s’ouvre devant eux.
Les situations très japonaises ont cependant les excellentes qualités de vérité et d’universalité.
Les personnages ont tous des vies indépendantes les unes des autres.
Ils sont toutefois du même quartier, fréquentent la même bibliothèque et parfois du coin de l’œil, on aperçoit quelqu’un que l’on reconnait d’un récit précédent.
Avec ce roman, j’inaugure l’étiquette « FeelGood » qui en fait s’applique à quelques-unes de mes lectures passées.
Mon seul regret en refermant ce livre ?
Le constat qu’il n’est pas facile dans la vie de croiser ce genre de bibliothécaire ou peut-être de suivre ses « conseils ».
— La valeur d’un livre est plus dans ta propre interprétation que dans la puissance de ses mots.
D’autres personnes l’ont lu…
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C’est grâce à lui que j’ai découvert le roman !
Et confidence ce n’est pas le seul livre chroniqué sur ce blog que j’ai découvert grâce à Stéphanie.
Le trouver en e-book
Sans DRM évidemment.
Cet article "La Bibliothèque des rêves secrets" est paru en premier sur Post Tenebras Lire